Y a-t-il un président dans la salle ?

John Fitzgerald Kennedy :

Pardonnez à vos ennemis mais n'oubliez jamais leurs noms.
Le meilleur temps pour réparer sa toiture, c'est lorsque le soleil brille.
L'humanité devra mettre un terme à la guerre, ou la guerre mettra un terme à l'humanité.
Ne demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, demande ce que tu peux faire pour ton pays.

Benjamin Franklin :

Celui qui est prêt à sacrifier un peu de sa liberté pour plus de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux.
Il n'y a jamais eu de bonne guerre ni de mauvaise paix.

Ulysses S. Grant :

Je ne connais pas de meilleure méthode pour faire annuler les mauvaises lois que de les mettre rigoureusement à exécution.

Dwight Eisenhower :

Lorsque vous faites usage de la force, il est une chose à ne jamais faire : perdre.

Sir Winston Churchill :

Une pomme par jour éloigne le médecin pourvu que l'on vise bien.
Tout le monde peut retourner sa veste, mais il faut une certaine adresse pour la remettre à l'endroit.
Messieurs, Mesdames, prenez garde, je vais parler français.

Jimmy Carter :

Nous devons vivre nos vies comme si le Christ allait venir cet après-midi. 

Theodore Roosevelt :

Le politicien qui réussit le mieux est celui qui dit le plus souvent et de la voix la plus forte ce que tout le monde pense.

Franklin D. Roosevelt :

Il y a quelque chose de pire que de n'avoir pas réussi. C'est de n'avoir pas essayé.

Harry Truman :

Si vous voulez avoir un ami à Washington, prenez un chien.

Abraham Lincoln:

Aucun homme n'a assez de mémoire pour réussir dans le mensonge.

Charles De Gaulle : 

Français, je vous ai compris !
Les Français sont des veaux !
Le patriotisme, c'est aimer son pays. Le nationalisme, c'est détester celui des autres.
Les hommes peuvent avoir des amis, pas les hommes d'Etat.
J'ai entendu vos points de vue. Ils ne rencontrent pas les miens. La décision est prise à l'unanimité.
La diplomatie est l'art de faire durer indéfiniment les carreaux fêlés.
Face aux grands périls, le salut n'est que dans la grandeur.
L'administration, c'est mesquin, petit, tracassier. Le gouvernement, c'est pénible, difficile, délicat. La guerre, voyez-vous, c'est horrible, mais la paix, la paix, il faut bien le dire, c'est assommant.
Comment voulez-vous gouverner un pays où il existe 258 variétés de fromage ?
Il n'y a que les arrivistes pour arriver.
Je ne vais pas mal. Mais rassurez-vous, un jour, je ne manquerai pas de mourir.
Prenez invariablement la position la plus élevée, c'est généralement la moins encombrée.
La guerre, c'est comme la chasse, sauf qu'à la guerre les lapins tirent.
Il est vrai, que parfois, les militaires s'exagérant l'impuissance relative de l'intelligence, négligent de s'en servir.
La réforme oui, la chienlit non !

François Mitterrand :

Poser une question qui ne se pose pas est la plus sûre façon de prouver qu'elle se pose.
Sans tomber dans un excès de réalisme, c'est tout de même la moindre des choses de considérer que l'Allemagne est en Europe.»
Je suis né chrétien, et je mourrai sans doute en cet état. Dans l'intervalle...»
Gouverner, ce n'est pas plaire.
Les évidences doivent être souvent rappelées. Je me demande même si je ne passe pas l'essentiel de mon temps à ça.
Je ne me plains pas de la presse, soit que je me sois habitué, soit que je me sois résigné.

 Jacques Chirac :

What do you want ? You want me to go back to Paris ? You want me to go back to my plane ? Stop it ! Stop it now ! This is not a method ! This is provocation !